Description
Product details
Director | Mike Flanagan |
Actor | Elizabeth Reaser, Annalise Basso, Henry Thomas, Lulu Wilson |
Label | Universal Pictures |
Genre |
Horror
|
Content | DVD |
FSK / age rating | from age 16 |
Publication date | 23.02.2017 |
Region code | 2 |
Original title | Ouija: Origin of Evil |
Year of production | 2016 |
Length | 95 Minutes |
Audio | English (Dolby Digital 5.1), German (Dolby Digital 5.1), French (Dolby Digital 5.1), Italian (Dolby Digital 5.1), Spanish (Dolby Digital 5.1) |
Subtitles | English (for deaf or hard of hearing), German, French, Italian, Spanish, Dutch, Icelandic , Hindi, Swedish, Portuguese, Norwegian, Danish, Finnish, Arab, Turkish |
Extras | Making of, Deleted scenes, Audio commentary |
Screen | 16/9, 1.85:1 |
Cast & Crew
Customer reviews
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Sehr guter Film
Hammerfilm wie sein Vorgänger. Spannend und gruselig!
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Bof...
Pas mal, mais rien de vraiment nouveau. Pas aussi mauvais que beaucoup de monde le dit… mais loin d’être un excellent film, malheureusement. En fait, en y repensant, je dirais qu’il n’est même pas bon. Je m'attendais évidemment à bien mieux. C'est sympa, mais rien d'extraordinaire. Le film se déroule selon les motifs habituels de l'horreur. J’ai été aussi pris par le début de ce film que déçu par la fin et c’est exactement ce que j’avais ressenti dans le premier.
Dans le premier, je m'étais déjà dit que le pseudo-twist final était proprement inutile ("On a encore un peu de pellicule : qu'est-ce qu'on fait ?") n'y changeait rien puisque tout avait été dit : le passage obligé par l'hosto psychiatrique, la malédiction issue d'une sombre histoire de famille, la lampe qui vacille au mauvais moment et une foultitude de portes bien peu obéissantes.
Bref !
Peut-être plus réussi que le précédent épisode, "Ouija Les Origines" n’est cependant pas un grand film d’horreur. Il manque cruellement de tension pour nous scotcher à notre fauteuil et se montre trop aseptisé pour convaincre les vrais fans du genre. Il reste, comme le premier, un film d’horreur pour adolescents plus destiné à vendre plus de planches de Ouija que de marquer les annales du cinéma fantastique. Il mérite cependant d’être vu malgré tout rien que pour ses deux jeunes actrices à surveiller de près. En effet, les sont personnages dotés d'une certaine profondeur et superbement bien interprétés (l'excellente Elizabeth Reaser ainsi que la petite Lulu Wilson, flippante à souhait) et c’est réalisé de manière efficace, donc "Ouija : Les Origines" surpasse le premier volet, mais ses qualités ne parviennent jamais véritablement à faire oublier le classicisme d'un récit dont on connaît déjà la conclusion par avance. De jolis efforts donc… mais pas sûr qu'on en réclame un troisième épisode pour autant.
Grâce à son logo Universal d'époque et à la présentation de son titre, "Ouija : Les Origines" nous installe facilement dans une ambiance 60's tout comme l'excellente BO qui va avec. Le réalisateur a tenté d’ajouter un grain à l’image qui fait vraiment ancien et c’est, pour le coup, très réussi. On y trouve une certaine forme d'insouciance tout comme, ici, dans les premiers émois amoureux de la fille aînée. Mais, la famille vit dans la pénombre du deuil du père et ses conséquences. Les difficultés financières auxquelles est confrontée la mère l'a entraîné dans cette spirale malhonnête et lorsque la cadette révèle de véritables dons surnaturels, elle choisit de l'exploiter se convaincant intérieurement du bien fondé de ce geste par le soulagement apporté au client. Hélas, la supercherie dont elle a elle-même fait preuve auparavant va se retourner contre elle lorsqu'un être maléfique va la tromper à son tour par l'intermédiaire de sa fille. -
Suite et fin de ma critique !!!
L'intelligence de la manière de nous raconter cette histoire, par effet de miroir, contraste véritablement avec la bêtise du premier film et ses personnages creux. L'attachement est effectivement presque immédiat entre le spectateur et la mère et ses deux enfants, des personnages bien plus fouillés qu'à l'accoutumée dont la confrontation à des forces surnaturelles passera forcément par la résolution de leurs maux intérieurs. C’est intelligent et ça fait du bien !
J’ai trouvé une critique dont je vais reprendre une partie : «Seulement, en choisissant la voie du prequel, Flanagan se tire lui-même une balle dans le pied. À cause du premier opus, le spectateur connaît désormais le destin funeste de la famille. Le film a beau tenté d'enrichir le background de la malédiction, rien n'y fait ! Les tenants et aboutissants du récit semblent déjà connus d'avance et ne parviendront jamais à être transcendés par une forme très réussie vectrice d'une ambiance pesante ou par une montée en puissance dans les manifestations paranormales à l'écran.»
Je n’aurais clairement pas pu mieux exprimer cela !
Les mécanismes de l’horreur ne sont pas choses évidentes à mettre en place. Chaque public a sa sensibilité et sa vision de l’épouvante, ainsi que ses sujets de prédilection. Un film d’horreur est un jeu au cours duquel le réalisateur fait croire des choses à son spectateur, par la musique, par l’angle de sa caméra par des subterfuges au cours desquels chacun croit anticiper, mais en vain. C’est ce qu’a compris le fabuleux James Wan, par exemple, qui est un modèle à suivre dans le cinéma de genre… même si j’ai pas adoré Malignant (2021) !
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